Étude de cas – Taches d’huile apparaissant spontanément sur la photo de Sa Sainteté Bhaktaraj Maharaj

La SSRF publie ces études de cas dans l’intention de fournir une direction à nos lecteurs en ce qui concerne les problèmes qui se manifestent au niveau physique ou psychologique, mais qui peuvent avoir leur origine dans la dimension spirituelle. Lorsque la cause principale d’un problème est de nature spirituelle, nous avons observé que l’inclusion de remèdes de guérison spirituelle donne généralement les meilleurs résultats. SSRF conseille la poursuite du traitement médical conventionnel ainsi que des remèdes de guérison spirituelle pour le traitement des maladies physiques et psychiatriques. Les lecteurs sont conseillés de mettre en pratique ces remèdes de guérison spirituelle à leur propre discrétion.

Note : Pour comprendre le contexte de cette étude de cas et pourquoi ces phénomènes se sont déroulés, en particulier en ce qui concerne la SSRF, lisez – Une introduction aux phénomènes surnaturels.

M. Ram Honap a commencé la pratique spirituelle en l’an 2000. Toute sa famille (son père, sa mère et sa sœur) pratique également la spiritualité sous la direction de Sa Sainteté Dr Jayant Athavale. Dès le début, Ram a été diagnostiqué par le département subtil de la SSRF de subir une détresse due à des énergies négatives. Alors qu’il commençait à être plus régulier dans sa pratique spirituelle et à faire de plus en plus de satseva (comme la pose de stands de livres, la distribution de revues spirituelles, etc.), il a constaté que la détresse augmentait. Cette détresse comprenait les problèmes suivants :

  • Il ne pouvait pas étudier du tout.
  • Il se sentait endormi tout le temps, n’avait pas l’énergie de lever les mains, restait couché sur son lit pendant des heures sans pouvoir bouger.
  • Son esprit devenait vide et il ne pouvait pas du tout se rappeler ce qu’il avait lu.
  • Cette détresse continua, malgré l’augmentation de sa pratique spirituelle avec des remèdes de guérison spirituelle (comme allumer des bâtons d’encens, souffler des cendres sacrées, etc.) Il ressentait une pression subtile constante dans sa chambre.
Des énergies négatives : À la Fondation de Recherche de la Science Spirituelle, nous utilisons le nom « énergies négatives » comme un terme générique pour représenter tous les types d'entités de la dimension spirituelle qui ont l'intention de nuire à l'humanité, du « fantôme commun » aux « māntriks» du plus haut niveau. Si la force spirituelle d'un fantôme commun se situe entre 1 à 10 unités, alors la force d'un māntrik varie d'un milliard jusqu’à presque l'infini.

En 2003, M. Chanda Dixit, un adepte de Sa Sainteté Bhaktaraj Maharaj est venu visiter la famille de Ram. Sa femme Mme Shubhangi Dixit a fait cadeau à Ram d’une image (qui était déjà encadrée) de Sa Sainteté Bhaktaraj Maharaj. C’était une image rare que Ram n’avait jamais vue auparavant, qui montre Sa Sainteté Bhaktaraj Maharaj tenant un bâton. Ram était ravie de recevoir cette photo. Il la plaça sur sa table d’étude et priait constamment à Baba (un nom que les aspirants appellent affectueusement Sa Sainteté Bhaktaraj Maharaj) pour que la guérison spirituelle se produise. En priant ou en regardant l’image, l’attention de Ram était invariablement attirée sur le bâton que Baba tenait dans la photo. Chaque fois que cela se passait, Ram percevait que le mantrik (le sorcier subtil) qui le possédait était très intimidé et effrayé. Ram s’est rendu compte que Baba faisait de la guérison spirituelle sur lui de manière subtile et que le mantrik se faisait battre par le bâton de Baba. Ram a perçu les fréquences destructrices (marak) et sauveuses (tarak) émanant de l’image, qui fournissaient une couverture spirituelle protectrice autour de lui.

Le département de la perception subtile est une section de SSRF comprenant des aspirants qui peuvent apercevoir la dimension subtile, dessiner des figures du monde subtil (schémas subtils) et administrer des remèdes spirituels. Quelques aspirants de ce département reçoivent la Connaissance Divine et d’autres poursuivent l'art divin. L'activité de recherche de SSRF est effectuée principalement par ce département.

Après environ trois mois après avoir reçu la photo, Ram a réalisé qu’elle avait changé. Elle semblait huileuse et ne ressemblait pas à auparavant. À l’époque, les attaques des énergies négatives de niveau supérieur au moyen de taches, etc. ne faisaient que commencer au centre de recherche. Ram ne savait donc pas ce qui était arrivé à la photo. Cependant, il avait un fort sentiment que l’image avait été ternie par les énergies négatives et qu’elle devait être envoyée immédiatement au département subtil de la SSRF pour une lecture et une analyse subtiles.

Il a donc envoyé la photo au centre de recherche de la SSRF à Goa et Mme Anjali Gadgil, du département subtil de la SSRF, a confirmé ses soupçons que la photo avait été attaquée par des énergies négatives. Une autre chose étrange qui s’est produite est que lorsqu’il a envoyé la photo, les taches ne couvraient pas encore toute la photo. Notre observation a été que les taches huileuses se sont répandues au cours des années. Dans son état actuel, il semble que de l’huile a été renversée sur l’entièreté de la surface de la photo. Il en résulte que l’attaque subtile a continué même après que la photo n’étais plus avec Ram.